Le Saint Hubert par S Sidney dans la Chasse à Cour en Angleterre
Chapitre Chasse au Daim avec des Blood hounds S Sidney Le Chasse à courre en Angleterre
Thomas Neville , Esq. De Chelland House, près Winchester , chassa pendant de longues années des cerfs venant surtout du parc du Duc de Beaufort , à Baminton, avec une meute de Chiens Blood Hounds de Saint Hubert Noirs,
Ainsi à mes questions il répondit qu'il avait trouve beaucoup de difficultés à maintenir la race pure, tellement les chiots étaient difficiles à élever .
Lord Wolverton, qui installa une meute de Blood Hounds pour chasser le çerf en Dorest , en 1871 l'honorable de la lettre suivante datée de septembre 1874.
" je commençais en 1871 par acheter six couples de chiens au capitaine Rôden, de Kells, comte de Meath, qui étaient excellents, mais peut être pas tout avait de pure race Blood Hound, ils avaient un croisement de Fox hound. J'ai acheté et élevé beaucoup. De blood oueds purs, je chassais le cerf avec seize couples d'entre eux. Ces chiens ont 26 à 27 pouces de haut, noir et feu avec des nez fins. Ils courent très vite, couvrant le terrain par e grandes foulées . Ils ne lèvent pas le nez et n'abandonnent la voie que quand ils sont pressés par les chevaux ou enlevés pour essayer un à vue comme les Fox-hounds.
Je les trouve dociles à la voix, mais tout coup de fouet les rend boudeurs. Leurs notes sont très profondes et lorsqu'ils suivent une voie froide la musique est très belle.ils galopent bien ensemble et ne font pas plus de queue que les Stag Hounds ordinaires. Ils ne se précipitent pas sur une voie comme les Fox Hounds, mais la conduisent dans un bon style. J'en ai à peine assez pour faire souche actuellement, sans cela je pourrais les obtenir aussi égaux et les faire galoper ensemble aussi bien que les Fox Hounds. Les chiots sont très difficiles à élever."
Sur ses Blood Hounds le capitaine Rôden écrit dans le Field :
"les chiens actuellement possédés par Lord Walverton ont été élevés par moi, tout au moins huit couples d'entre eux. Je les vis chez lui l'an dernier. J'obtiens la race e feu M Jennings, en Yorkshire , et e M Conan de Bladun Burn, près Newcastle. Je commençais ma meute en les gardant aussi bas que possible, mais pas moins de 26 pouces. Leur poids à deux ans pouvait être de 70 80 livres. Ils ne sont complètement formés qu'à trois ans. Ils sont très délicats jusqu'à l'âge de huit ou dix mois et réclament du lait non-écrémé et beaucoup d'espace, en fait on peut les laisser en liberté une grande partie de la journée, sans homme, car ils sont très intelligents et ne sont pas de simples machines comme les Fox Hounds,ils apprendront de bonne heure par eux mêmes ce qu'ils faut éviter et agiront en conséquence. Je faisais avec les miens un drag avec un petit morceau de viande crue, la plus fraîche possible, et pesant une livre environ. Un homme l'emportait à pied et je donnais de eux à quatre heures d'avance pour les cavaliers, deux heures seulement pour l'exercice, dont ils ont un grand besoin, quatre heures, quelques fois six. L'homme devait faire six kilomètres et mettre le drag dans un arbre. On ne doit rien mettre dans la viande sous aucun prétexte.il ne faut pas les conduire ou les maintenir à coup de fouet, ils deviendraient boudeurs ou contrariés, on doit les laisser seuls et plus ils vont lentement et plus leur manière de chasser est belle.
J'ai remarque que dans l'élevage, plus les têtes étaient étroites, un grand point dans une exposition de chiens, plus mauvais était l'arrière main , sans force dans les cuisses, et conséquemment les chiens étaient incapables de résister à un travail rapide. Cela et les pieds plats sont des défauts. Plus tôt on les laisse chasser et mieux cela vaut, à trois mois, j'avais l'habitude de les commencer. Ils semblent jamais ne goûter une autre voie que celle qu'ils ont prise au commencement. Ils demande un grand chenil, car quand ils se battent ,ils se font beaucoup de mal et ne s'apaisent pas de longtemps. Un qui avait été chéri par Mme W., fut tué par les autres quand on le remit au chenil, mais en général ils sont tranquilles. Je ne pense pas qu'on doivent les laisser toujours entre les mains des serviteurs, ils peuvent prendre des mauvaises habitudes comme les autres animaux, mais pour un maître ils sont charmants, tellement ils sont affectueux et obéissants.ils doivent avoir un galop,e quelque sorte trois fois par semaine, autrement ils deviennent empâtés car il ne faut pas les laisser devenir bas d'état ni diminuer leur nourriture. Il faut les tenir au dessus d'eux mêmes , ou bien ils se fatigueraient , beaucoup de viande, donnée souvent crue et par gros morceaux à la fois. Mâcher provoque la digestion. À l'ouvrage ils ne font pas comme les autres chiens-chaque chien va seul-et ne regarde jamais un autre chien. De fait ils ne lèvent jamais le nez de terre et un seul daim fut tué par eux en Dorsetshire. Même dans le même champs ils n'ont jamais d'a vue, si bien que tous les daims ont été sauvés sans difficulté.une meute de dix couples suffit bien dehors car tous font de la musique. On doit en avoir quinze couples, car il y'a souvent des accidents. Ils mangent plus que les autres chiens, ne veulent pas interrompre leurs repas, ce qu'il faut faire avec le fouet"